|
|
|
|
|
Livre
Les sept laïcités françaises
(
le modèle français de laïcité n'existe pas
)
BAUBEROT, Jean
:
2015
Editions de la Maison des sciences de l'homme
1 vol. (175 p.)
Présentation:
Avec la loi de séparation des Églises et de l'État (1905) et son inscription dans la Constitution (1946 et 1958), la laïcité apparaît comme une référence importante en France. Depuis le début du XXIe siècle, elle est de plus en plus invoquée, et une très grande majorité de Français affirment qu'ils y sont "attachés". Pourtant des spécialistes soulignent la "confusion" qui règne sur le sens de ce terme. De plus, hier valeur essentielle de la gauche, elle est de plus en plus omniprésente dans le discours politique de la droite et de l'extrême droite. En fait, nous indique Jean Baubérot, il n’existe pas de "modèle français" unique de laïcité mais des visions divergentes qui s’affrontent dans un rapport de forces toujours évolutif. Ainsi le contenu de la loi de 1905 a représenté un enjeu entre quatre conceptions différentes de la laïcité. Celles-ci ont subsisté en s’adaptant, alors que trois "nouvelles laïcités" sont apparues. Ces sept laïcités, l’auteur nous les décrit en les qualifiant de : laïcité antireligieuse, laïcité gallicane, laïcité séparatiste stricte, laïcité séparatiste inclusive, laïcité ouverte, laïcité identitaire et laïcité concordataire. Une partie finale rend compte des mutations de la laïcité depuis la fin du XIXe siècle et effectue des hypothèses sur son devenir. (Source : éditeur)
LAICITE
;
VALEUR
;
ENGAGEMENT
(
POLITIQUE
/
HISTOIRE
/
LEGISLATION
/
RELIGION
/
IDEOLOGIE
)
Section :
Citoyenneté
Exemplaire :
86-C-5 : SEMC
|
|
|
|
|
|
|
Livre
Participer
(
essai sur les formes démocratiques de la participation
)
ZASK, Joëlle
:
2011
Le bord de l'eau
1 vol. (326 p.)
;
couv. ill. en coul.
;
21 cm
Présentation:
Que signifie, que sous-entend, qu'engage, la participation ? En art, en politique, à l'école, dans l'entreprise, dans la presse et sur le web, une même injonction est aujourd'hui adressée à chacun d'entre nous : participez ! Oui, mais à quoi, comment et pour quoi faire ? Sait-on ce que participer veut dire ? Rien n'est moins certain. Cet essai propose d'explorer l'idée de participation afin de mettre au jour les critères permettant de faire la part entre ses formes superficielles, fallacieuses, manipulatrices ou simplement plébiscitaires - elles sont légion -, et celles qui s'avèrent au contraire réellement constructives aussi bien pour chaque individu que pour le groupe.
A partir d'exemples empruntés à toutes sortes d'activités - jouer aux cartes, voter, apprécier une oeuvre d'art, discuter, organiser une randonnée, chercher à être reconnu -, il s'agit de montrer que la participation bien comprise s'identifie à cette subtile articulation entre prendre part, apporter une part (contribuer) et recevoir une part (bénéficier). Bref, à l'idéal démocratique lui-même. Cet ouvrage, au croisement de la philosophie, de la sociologie, de la science politique et de l'esthétique, s'adresse à tous ceux pour qui la participation n'est pas un mot creux, mais définit la qualité même des relations interhumaines dans un monde résolument ouvert à l'expérience démocratique. (Source : éditeur)
PARTICIPATION-CITOYENNE
;
ENGAGEMENT
;
DEMOCRATIE
;
CITOYENNETE
;
COMMUNAUTARISME
(
ASSOCIATION
/
PSYCHIATRIE
/
DYNAMIQUE-DE-GROUPE
)
Section :
Citoyenneté
Exemplaire :
1690-C-5 : SEMC
|
|
|
|
|
1 vol. (241 p.)
;
22 cm
Bibliogr. p. 225-236
Présentation:
Où va le monde et que peuvent les hommes ? C'est à ces deux questions que l'éducation populaire tente, à sa manière, de répondre. En fait, ces deux questions se ramènent à une seule : comment faire pour que des hommes qui sont les produits de l'Histoire - selon les cas et moments, bénéficiaires ou victimes - puissent, individuellement et collectivement, faire l'Histoire et construire leur devenir commun ? L'éducation populaire doit être pensée avant tout comme une praxis culturelle de transformation sociale et politique. On ne peut la réduire à la gestion d'activités au service d'une improbable paix sociale. Elle s'attache au contraire, contre tous les consensus artificiels confortant l'immobilisme, à réveiller les contradictions, à faire conflit, à construire les situations et les procédures visant à augmenter notre puissance individuelle et collective d'agir, et ainsi à nous ouvrir les chemins d'une émancipation entendue comme dégagement de la place qui nous a été assignée par les conditions sociales, les appartenances culturelles, le genre, ou encore les handicaps de toutes sortes. L'auteur, à la fois praticien et chercheur, donne une dimension ample et nouvelle à une éducation populaire qui ne se laisse pas enfermer dans un champ de pratiques clos et institutionnellement limité. Ainsi se trouvent réinterrogés l'acte éducatif, les manières de faire société, la production et le partage des richesses, la démocratie et les politiques publiques, les pratiques artistiques et culturelles, la construction et la diffusion des savoirs, le travail du social et l'action collective. De plus, l'analyse d'expériences concrètes témoigne de cette pertinence et de cette obligation, pour l'éducation populaire, de construire, communiquer et socialiser les savoirs de ses propres pratiques, autant d'actes indispensables à la reconnaissance de son urgente nécessité dans un monde en bouleversement et en recherche de repères. (Source : éditeur)
ENGAGEMENT
;
DEMOCRATIE
;
PARTICIPATION-CITOYENNE
(
EDUCATION-POPULAIRE
)
Section :
Citoyenneté
Exemplaire :
1359-C-5 : SEMC
|
|
|
|
|
|
|
|
Article de périodique
2005 pour rien ? Analyses d'acteurs
(
table ronde avec Almamy Kanouté, Mohamed Mechmache, Zouina Meddour et Azzedine Taibi
)
Mouvements
83
OUARDI, Samira
;
ZAPPI, Sylvia
;
(collectif)
:
2015
Présentation:
Cette table ronde donne la parole à Almamy Kanouté – éducateur spécialisé et fondateur du parti "Emergence" ; Mohamed Mechmache – porte-parole d'ACLEFEU ; Zouina Meddour – militante associative et, à l'époque, directrice d'un centre social ; et Azzedine Taibi – élu maire de Stains en 2014.
Les échanges donnent une lecture particulière des événements de 2005. Et font émerger les raisons qui ont conduit à la "révolte", terme préférable du point de vue des intervenants à celui d'"émeutes" : relégation territoriale, discriminations, absence de relai de la parole des habitants, donc minoration politique. (Source : CREPS Provence-Alpes-Côte d'Azur)
BANLIEUE
;
ENGAGEMENT
;
COHESION-SOCIALE
(
VIOLENCE
/
POLITIQUE
/
TRAVAILLEUR-SOCIAL
)
Section :
Milieu urbain
Exemplaire :
2610-U-5 : SEMC
|
|
|